Racontez et invitez !
par le P. Antoine Vairon
C’est parti ! La semaine de la Joie, pour nous, il n’est plus temps d’en parler… il est temps de la vivre. Et nous tous, fidèles du Christ, d’entraîner bien d’autres personnes dans le mouvement de cette joie reçue de plus loin que nous, de cette joie plus profonde que toutes difficultés de l’existence.
Bien des cœurs vous attendent. Bien des cœurs attendent secrètement la lumière du Christ. Plus que vous ne pensez !
La première attitude qui revient à chacun, bien simplement, c’est de raconter ce qui se passe et de proposer aux habitants de Rueil qui nous entourent, de venir profiter de tel ou tel événements. Certes, il faut vivre et proposer les temps de prière, mais vous pouvez aussi mettre en avant des invitations très ouvertes :
- La soupe géante, que l’on va cuisiner ensemble vendredi soir.
- Le Café éphémère, ou l’on est accueilli et servi par des personnes avec un handicap. –
- Tous les beaux concerts gratuits.
- La participation à la collecte alimentaire, geste simple et accessible de solidarité.
Ne regardez pas le programme uniquement pour ce qui vous intéresse, mais aussi ce que vous pouvez souligner pour les autres personnes que vous côtoyez. Et n’oubliez pas : que vous soyez dans les activités de cette « semaine de la Joie #2 » ou occupés par vos obligations ordinaires, tout au long de cette semaine, osez raconter cette Foi chrétienne qui vous anime !
Pour lire l’éditorial du 24 février sans contresens
Vous avez été nombreux à me remercier de l’éditorial du 24 février « Que faire des scandales au Vatican ? ». Cependant, quelques échos d’incompréhension sont parfois remontés aux équipes paroissiales.
Pour ne pas faire de confusion, il faut bien comprendre que tout cet éditorial ne visait que les questions de mœurs homosexuelles de prêtres et de prélats au Vatican, la prostitution homosexuelle et les réseaux de copinages mis en place en ce lieu par ces personnes, tels que venait de les révéler le livre Sodoma.
En aucun cas, mes propos ne peuvent être utilisés pour évoquer les très graves questions d’abus sexuels sur mineurs ou les très tristes et sérieuses révélations concernant des religieuses abusées. Ces sujets appellent justice et prise en compte des victimes.
Les scandales répétés que l’Eglise découvre en son sein sont extrêmement douloureux, et il est nécessaire d’être rigoureux dans nos informations et nos analyses afin de ne pas ajouter la confusion des esprits à la gravité des faits. En sachant pouvoir compter sur votre compréhension.
Père Antoine Vairon